Écrivains, dramaturges, critiques d’art ont si parfaitement exprimé les réflexions que leurs ont insufflées les créations admirables de Baron-Renouard que très humblement – je ne me permettrai seulement d’ajouter, en reprenant les mots de Charles Le Quintrec :
Certes, nous ne sommes pas sûrs de tout comprendre dans l’oeuvre grandiose, superbe, de Baron-Renouard… Et d’ailleurs, de quel droit ou de quelle prétention, nous réclamerions nous pour la comprendre totalement. Faudrait-il à tout prix la disséquer, l’analyser, l’assécher par la « pauvreté » de notre langage ? Autant essayer de rationaliser irrationnel.
Pourtant, en regardant le portrait de l’artiste, je suis persuadée que les visions qui ont traversé un tel regard et creusé des traits si harmonieux dans ce visage éclairé d’un sourire aussi radieux, ne peuvent être inspirées que par la grâce des lumières célestes plutôt que concoctées dans les « chaudrons du diable », même si « le signe de l’absolu » en sort toujours triomphant.
Aut. : Denise Pop, peintre
Lieux : Catalogue du Salon Société régionale des Beaux-Arts de Choisy-le-Roy 55e
Date : 1990